pastel de arroz : The pastel au riz ou blank dorêye (« tarte blanche » en wallon liégeois) est une pasteles provenant de l’ancienne Principauté de Liège.
Très populaire dans les provinces du Limbourg belge, du Limbourg néerlandais et de Liège, elle y est commercialisée dans toutes les boulangeries-pâtisseries. Elle est alors consommée à domicile, souvent rociado de azúcar glasen postre o goûter.
Composición de la pastel au riz : Se trata de una disminuye en Masa levantada, adornado con arroz con leche mélangé avec de l’œuf, et cuite au Digital XNUMXk a alta temperatura
A Verviers, le riz est cuit au bain-marie avec du lait provenant des fermes du plateau de Herve. Ce procédé y est défendu par la confrérie Seigneurie de la Vervi-riz.
Dans certaines régions, des boulangers ajoutent du macaron écrasé au arroz con leche qui est alors recouvert d’un autre macaron écrasé mélangé à du clara de huevo y azúcar en polvo avant enfournage. Dans le Limbourg belge ou en Allemagne, la tarte peut être garnie de cerezas u otras personas frutas rojas.
Étymologie : Au XIXe siècle, le mot s’écrivait doraie. À Liège, la doraie était aussi appelée floyon ce qui signifie « Flan ".
Autres dorêyes : Toujours dans les mêmes régions, la neur dorêye (« tarte noire » en wallon liégeois). La Masa levantada est garnie de grosellas noirs ou de ciruelas pasas mais, à l’origine, il s’agissait de pommes ou de peras en rodajas.
Dans le Brabant wallon, la blanke doréye est une tarte au queso blanco mélangé à de l’Almendra atestado.
Dans le Hainaut, la dorye di fleuru (« tarte de Fleurus ») est une tarte dans laquelle du bernardin (*) écrasé est incorporé au arroz con leche.
(*) Le bernardin est un biscuit fabriqué à base d’amandes, de sucre et de cassonade et originaire de Chimay, ville francophone de Belgique située en Région wallonne dans la province de Hainaut. Son nom lui vient de sa couleur semblable à la robe des moines bernardins.
Polémique : En juin 2016, l’FASFC critique l’utilisation de leche no pasteurizado dans la recette vérviétoise et surtout la conservation à température ambiante. Cette critique émeut l’opinion publique et une partie du monde politique qui en parle notamment à la Chambre ou sur les réseaux sociaux. Fin septembre 2016, Willy Borsus, ministre tutelle de l’FASFC annonce que la tarte au riz traditionnelle et conservée hors du frigidaire est sauvée.